Résumé
La thèse porte sur les attentes que les usager-ères des espaces d’accueil d’urgence, fragiles bénéficiaires d’un habiter menacé, nourrissent et ce en élargissant tant le répertoire lié à une attente qualifiée « d’empirique » dont la forme à venir serait déjà dessinée (comme l’attente du repas devant le lieu de distribution) ; que la définition d’une attente abrégée à ses compositions d’obstacles dans le projet de réinsertion ou encore d’une attente considérée comme assouvie par une réponse aux besoins d’un corps réduit à une mécanique.